Qui sommes nous

Nous sommes un collectif de citoyens provenant d’horizons divers, dotés de compétences diverses, qui partageons une vision commune des enjeux humains, écologiques, techniques, économiques, pédagogiques, artistiques, juridiques et politiques pour l'avenir de l'humanité et de notre planète Terre.

Le Numérique a pris une place considérable dans le fonctionnement de nos sociétés, que ce soit au niveau des individus, des organisations et des institutions.

La crise sanitaire a été un accélérateurextraordinaire des transformations que le Numérique induit dans toutes les relations sociales, familiales, amicales, professionnelles, citoyennes,...

Le numérique est-il un progrès dans l'évolution de la société ? Les critères "Quantité de données échangées" et "Rapidité de la circulation de ces données" sont-ils pertinents dans l'évaluation de la contribution du Numérique au seul progrès qui vaille, le progrès humain ?

La privatisation et la concentration des services du web par quelques acteurs mondialisés, les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft), ont modifié profondément la promesse initiale de l'Internet, la liberté, la connaissance, la libération du travail contraint et pénible.

L'internet n'est-il pas devenu aujourd'hui cet espace de soumission volontaire où nous, consommateurs, acceptons d'abandonner, contre des services apparemment gratuits, notre liberté de citoyens au risque de nous faire imposer des comportements ayant pour objectif in fine de concentrer les richesses et le pouvoir entre les mains de quelques-uns. Ce que d'aucuns appellent désormais "Capitalisme de surveillance".

Soumission volontaire, capitalisme de surveillance, croissance des inégalités mais aussi important impact sur le réchauffement climatique. Le Numérique, tout au long de son cycle de vie, contribue pour 4% à la production de gaz à effet de serre avec une croissance annuelle de 8%. Il est aussi un important consommateur de ressources rares dans la production matérielle de ses infrastructures et de ses objets.

"Résister et proposer".
Il ne suffit plus de critiquer et de résister. Le rouleau compresseur est trop puissant.
Les États, à l’échelle mondiale, doivent bien sûr intervenir pour réguler le Numérique, préserer la liberté des citoyens et lutter contre les inégalités.
Pour autant, sans attendre, des alternatives aux GAFAM sont possibles. Des collectifs de militants proposent localement des solutions et des services libres, éthiques, solidaires, décentralisés et sobres. Ce sont les CHATONS (Collectif d'Hébergeurs Alternatifs,Transparents,Ouverts, Neutres et Solidaires).

L’association Kaz est membre des CHATONS et à ce titre, propose de nombreux logiciels libres et gratuits.

La sobriété, un engagement concret. Lorsque vous utilisez votre adresse @kaz.bzh pour envoyer un courriel avec une pièce jointe à une ou plusieurs personnes, Kaz filtre la pièce jointe et la dépose sur son serveur. Lorsque votre ou vos destinataires ouvriront leur courriel, Kaz leur proposera de télécharger la pièce jointe. Vu du côté des utilisateurs, aucun changement. Mais le serveur de Kaz ne conserve la pièce attachée que pendant un mois. Cette innovation de Kaz qu'on ne trouve encore nulle part ailleurs, allège considérablement les réseaux et les serveurs encombrés par la multitude de fichiers, parfois très lourds, qui ne sont souvent jamais supprimés.

Rejoignez-nous à Kaz, une association d'éducation populaire.

N'hésitez pas à nous solliciter.

Bien sincèrement.

La collégiale des membres fondateurs de Kaz :

  • Pascal BAUDONT, enseignant en économie et gestion
  • Didier DENOUAL, informaticien , salarié
  • Fabrice RÉGNIER, sniper du logiciel libre
  • Gersan MOGUEROU, ingénieur de recherche en informatique
  • François MERCIOL, citoyen engagé, enseignant-chercheur en informatique
  • Alain RIVAT, retraité, ancien responsable informatique du Lycée Lesage, Vannes
  • Jacques-Henri VANDAELE, retraité, ancien dirigeant d'entreprise associative agricole